Thérapie craniosacrale

Comment se déroule une séance de thérapie craniosacrale ?

A ne surtout pas confondre avec la thérapie craniosacrale Biodynamique ou thérapie biodynamique, une séance de thérapie craniosacrale est une forme d’ostéopathie crânienne telle que fondée à l’origine par W.G Sutherland élève d’Andrew Taylor Still.

En premier lieu le thérapeute questionne son patient lors d’une anamnèse précise de manière à orienter sa séance en ayant bien pris la précaution de s’assurer qu’il n’y ait aucunes contre-indications médicales au traitement. Même si la thérapie craniosacrale est une forme de thérapie manuelle très douce, c’est-à-dire sans manipulations structurelles contrairement à l’ostéopathie, le praticien devra aussi s’assurer qu’il peut agir en toute sécurité.

 

La thérapie craniosacrale et le bassin.

Tout d’abord le thérapeute va effectuer une série de tests et de corrections pour s’assurer qu’il n’y ait pas de « contraintes de mobilités » (ce therme est préférable au mot « lésion » couramment utilisé) au niveau des ailes iliaques (hanches), du sacrum, du coccyx, de la zone entre la septième cervicale et la première dorsale et des lombaires.

Le thérapeute n’utilisera que des techniques myotensives pour les corrections. C’est-à-dire des contractions-relâchements des systèmes sous contraintes de mouvements associés à la respiration. Ces techniques sont non invasives et douces, elles respectent la physiologie articulaire, elles vont permettre de proposer une libération du système plutôt que de lui imposer.

 

Travail de la base crânienne.

Après avoir libéré le bassin de ses contraintes de mobilité comme expliqué ci-dessus, la thérapie craniosacrale va pouvoir s’occuper de la libération de la base crânienne. C’est-à-dire la vertèbre atlas, de l’os occipital, du foramen magnum, des sutures pétro-jugulaires et basilaires. Les techniques utilisées sont des techniques dites fluidiques, basées sur le mécanisme respiratoire primaire (MRP).

Il sera souvent nécessaire de détendre les membranes intracrâniennes appelées « membranes de tensions réciproques » afin de pouvoir libérer les os temporaux de toute restriction de mobilité pour arriver à une symphyse sphéno-basilaire équilibrée.

 

Travail sur les systèmes corporels spécifiques.

Un fois le bassin et le crâne libres de leurs contraintes, le thérapeute peut aller chercher par différentes méthodes les parties du corps à travailler. Il devient possible à ce stade du soin de travailler par exemple une cheville en articulaire, une voute plantaire, une ceinture scapulaire, un genou, un ou plusieurs viscères, des vertèbres spécifiques etc..  Mais aussi aller plus profondément sur des zones précises du crâne. Cela va dépendre des différents motifs de consultation et des probables causes primaires que le praticien aura trouvées.

Ces causes primaires peuvent être aussi bien ostéopathiques, viscérales, crâniennes ou fluidiques, émotionnelles, voir même énergétiques. Voilà pourquoi lors d’un précédent article sur cette thérapie j’expliquais la nécessité inhérente à la thérapie craniosacrale de ne jamais faire abstraction de la thérapie manuelle contrairement à la thérapie biodynamique. (Voir l’article).

 

Une thérapie brève et efficace.

En thérapie craniosacrale il est très rarement nécessaire d’aller au-delà de 2 ou 3 séances. Cela peut se justifier par exemple dans des cas d’accompagnements aux traitements d’orthodontie. Mais pour toutes les formes de tensions, d’inconforts ou de douleurs qui vous feraient consulter un ostéopathe, 1 à 3 séances sont nécessaires. Si le thérapeute n’obtient pas de résultats dans ces cas-là, cela veut dire que ce n’est pas du ressort de la thérapie craniosacrale ou alors que quelque chose lui a échappé dans le traitement. Le praticien pourra soit orienter sont patient vers une autre thérapie, ou vers un autre collègue thérapeute. Ce point est important car il y a beaucoup d’abus dans le domaine des soins complémentaires.

 

Se former à la thérapie craniosacrale.

Le cursus complet de formation en thérapie craniosacrale devrait comprendre 3 chapitres d’étude.

 

  • La sphère crânienne avec les techniques sur le MRP
  • La thérapie manuelle douce et non structurelle pour traiter l’ensemble du corps
  • La thérapie viscérale

D’autres sous chapitres sont aussi dans le domaine d’étude de la méthode comme par exemple:

 

  • Les somatotopies (lecture digitale sur le crâne afin d’aider à identifier des zones à travailler)
  • L’approche énergétique est une option qui peut s’avérer nécessaire parfois.
  • La relation d’aide et les règles de bonne conduite et d’éthique ainsi que la gestion de gestion de cabinet

Thérapie cranio-sacrée

Qu’est ce que la thérapie cranio-sacrée?

La thérapie cranio-sacrée a évolué en une remarquable thérapie manuelle qui a créé une façon très habile d’écouter les expressions de santé inhérentes au corps. Le thérapeute recherche et encourage généralement les forces de la santé à fixer les priorités de la séance et à apporter des ajustements naturels à partir des ressources propres du corps. Il se caractérise par une forte orientation vers l’holisme de l’expérience humaine où l’anatomie et la physiologie du corps sont liées en temps réel aux forces subtiles de la vie qui agissent à travers l’interface des fluides du corps. Les mouvements subtils des champs de fluides et de tissus du corps sont écoutés et le mouvement naturel est considéré comme une guérison profonde.

 

La thérapie cranio-sacrée et la thérapie manuelle.

Le travail du thérapeute ne peut pas se résumer uniquement au traitement fluidique du MRP (mécanisme respiratoire primaire). Il est fondamental au préalable de vérifier manuellement la posture et la mobilité articulaire. Surtout au niveau du bassin (iliaques, sacrum, coccyx). En effet celui-ci peut être en restriction de mobilité à cause des différentes causes musculo-squelettiques (anciennes entorses, accidents, fractures etc..) mais aussi viscérales. C’est là que beaucoup d’amalgames sont nés ! Il est impossible de traiter un patient uniquement par les systèmes fluidiques reliés au MRP sans prendre en compte les aspects ostéopathiques et viscérales qui régissent aussi notre organisme. Le travail sur le crâne est un outils supplémentaire et complémentaire puissant qui va venir s’ajouter aux principes manuels de posture. Si nous prenons comme métaphore un instruments de musique à accorder, il serait impensable d’imaginer avoir un réglage correcte et durable ( système fluidique cranio-sacrée) sans prendre en compte l’état de la lutherie de l’instrument ( systèmes ostéopathiques et viscérales).

 

La thérapie cranio-sacrée dans l’histoire.

Créer aux USA par William Gardner Sutherland qui était un journaliste qui intégra la première école d’ostéopathie fondée par Andrew Taylor Still en 1898 et qui fut diplômé 2 ans après en 1900 (voir la biographie de W.G Sutherland).

Sutherland est celui qui ajouta la dimension crânienne dans l’ostéopathie. Au fil du temps d’autres chercheurs on fait évoluer les découvertes sur le champ crânien.

En effet, au cours des années 1970-1975, le Dr John E. Upledger, médecin américain et ostéopathe, s’est intéressé de manière approfondie au système crânio-sacré, déjà découvert et décrit par les deux médecins américains Andrew T. Still (1828-1917), père de l’ostéopathie, et William G. Sutherland (1873-1954), fondateur de l’ostéopathie crânienne. Still et Sutherland ont découvert expérimentalement la relation entre la structure corporelle, sa mobilité et son fonctionnement. Upledger a traduit la relation entre le corps et l’esprit, déjà découverte par Still, sous la forme d’une thérapie facilement applicable dans la pratique. Upledger a réconcilié le corps et l’esprit dans une communication physico-énergético-émotionnelle, ce qui a remis en valeur le caractère holistique de cette thérapie tel que Still l’avait initialement voulu.

 

En conclusion.

La beauté de cette thérapie est son efficacité dans la douceur quand elle est liée à la thérapie manuelle. C’est-à-dire tel qu’elle fut créée et enseignée par ses fondateurs.  Le praticien adopte une position de neutralité et laisse le processus du traitement se dérouler. Le praticien est intéressé à faciliter le corps vers des réorganisations intrinsèques à travers les tissus du corps, sa matrice fluide et ses couches énergétiques et émotionnelles, afin qu’il y ait un mouvement holistique vers une plus grande santé dans un systéme ostéopathique préalablement normalisé. La thérapie cranio-sacrée crée un espace sûr pour que les expériences traumatiques puissent émerger et se résoudre en douceur sans être accablantes ou stimulantes.

La thérapie cranio-sacrée gagne beaucoup de reconnaissance et de popularité en raison de ses effets thérapeutiques profonds. Des formations pour les praticiens sont maintenant disponibles dans de nombreux pays du monde et des communautés de praticiens commencent à émerger.  Toutefois il faudra bien vérifier que les organismes de formations incluent bien la partie manuelle et viscérale dans leurs cursus. Ceci est fondamental ! A moins d’être déjà un praticien aguerri en thérapie manuelle (ostéopathie, reboutologie, physiothérapie etc.) l’enseignement cranio-sacrée Upleger  (appelé aussi biodynamique) seul ne sera pas suffisant.

Il est donc fondamental de faire la distinction entre thérapie cranio-sacrée, thérapie craniosacrale et thérapie cranio-sacrée ou craniosacrale biodynamique.

Devenir thérapeute

Si vous souhaitez devenir thérapeute mais que vous ne savez pas par où commencer, vous êtes au bon endroit. Bien qu’il existe plusieurs types de thérapeutes, le cheminement vers chaque profession est similaire.

 

Que fait un thérapeute?

Fondamentalement, les thérapeutes aident les gens à surmonter leurs problèmes. Ces problèmes peuvent se présenter sous des formes très diverses et peuvent inclure des problèmes psychologiques, des problèmes interpersonnels avec des membres de la famille ou des collègues, ou des troubles du comportement. Des problèmes physiques, fonctionnels et émotionnels. Le travail d’un thérapeute dépend pour moi en grande partie du type de thérapeute qu’il est. Avant de prendre la décision de devenir thérapeute, et surtout thérapeute en méthode OEV® voici ci-dessous 9 choses à savoir qui sont pour moi 9 mauvaises raisons de devenir thérapeute

 

1. Parce que vous aimez donner des conseils.

Voici le problème : les gens ne viennent pas en thérapie pour obtenir des conseils, même s’ils disent qu’ils le font. Si l’outil principal des thérapeutes était de donner des conseils, nous serions rapidement mis en faillite par les parents et les amis bien intentionnés.

 

2. Parce que vous savez écouter.

Evidement, les thérapeutes écoutent. Oui, il y a une façon de bien écouter. Oui, si vous êtes fier de votre capacité d’écoute, la profession de thérapeute peut être un bon choix de carrière. Cependant, ce n’est pas le ticket d’or. Les patients ont besoin que nous ne nous contentions pas d’écouter, mais que nous réfléchissions, ressentions et réagissions à tout moment de la séance.

 

3. Parce que vous aimez faire des choses pour les autres.

Les thérapeutes ont des besoins dans leurs relations avec leurs patients, tels qu’un horaire régulier, une rémunération et une base de respect et de volonté de faire le travail. Les patients repoussent sans cesse ces besoins, consciemment et inconsciemment, et pour un certain nombre de raisons, dont la plupart sont dénuées de toute malveillance et généralement protectrices. Afin de créer des relations sûres qui profitent à la fois à vos patients et à vous-même, vous devez être capable de faire respecter les limites en votre nom, parfois au détriment du confort ou du plaisir d’un patient.

 

4. Parce que vous aimez réparer les choses et les gens.

Les conflits les plus importants et les plus angoissants dont souffrent les patients sont profondément ancrés dans leurs vies, leurs relations, leurs carrières et leurs familles. Ces conflits peuvent avoir des origines remontant à des décennies, mais ils ont tendance à être bien vivants dans le présent. Si ces conflits étaient « tous mauvais », ils pourraient être facilement « réglés » avec la relative facilitée d’un manuel Ikea. Les gens ont des parties d’eux-mêmes qui se sont développées afin de bien fonctionner dans des systèmes qui ont été conçus pour la meilleure adaptation possible. Ces systèmes ne peuvent pas simplement être recalibrés ou « réparés » lorsqu’un environnement de santé ou de sécurité est présenté. Les thérapeutes doivent respecter, comprendre, être curieux et ouverts aux défenses et aux résistances que présentent les patients. En se concentrant sur la réparation, on bloque les possibilités d’exploration.

 

5. Parce que vous n’êtes pas prêt à vous regarder en face.

Pour être thérapeute, il est essentiel de comprendre ce que vous apportez à la séance. Vous n’êtes pas une ardoise blanche ; vous êtes un être humain vivant avec des privilèges, des modes, des valeurs, des croyances, des idées et votre propre histoire. Il est important d’examiner ce que vous offrez à vos patients, en particulier pour comprendre si c’est au service du traitement ou de la gestion de quelque chose qui se passe en vous. Certes, cela peut être douloureux. Les relations interpersonnelles sont des points chauds pour nous tous, thérapeutes et patients. Il faut parfois s’enfoncer dans sa propre noirceur pour comprendre ce qui vous empêche de vous rapprocher de vos patients et de leurs douleurs.

 

6. Devenir thérapeute pour guérir de sa propre douleur.

Devenir thérapeute ne peut pas empêcher votre propre exploration et compréhension des façons dont vous avez rencontré la douleur et la souffrance au cours de votre vie. Cela ne signifie pas que vous devez être complètement guéri. Les thérapeutes luttent contre la douleur et la souffrance de la même manière que les patients, comme les médecins peuvent lutter contre l’hypercholestérolémie ou l’asthme. Cependant, si le fait d’aider d’autres personnes dont la douleur ressemble beaucoup à la vôtre peut vous faire vous sentir mieux momentanément ou vous permettre de prendre de la distance par rapport à votre propre douleur, cela ne fonctionnera pas à long terme. Et elle ne sera certainement pas productive pour vos soins.

 

7. Parce que les gens ont tendance à vous survaloriser.

C’est bon pour les cocktails mais mauvais pour votre travail. Si cela se produit, il y a une chance que vous soyez trop ouvert au monde et que vous soyez trop accueillant à l’égard de la douleur des autres. Cela ne vous protège pas suffisamment et risque de vous épuiser, même si votre ego est plein à craquer.

 

8. Devenir thérapeute par curiosité.

Le « fouinage » ne vous mènera pas très loin en tant que thérapeute. Une fois que les choses sont sur la table, vous et votre patient devez en faire quelque chose. Vous vous retrouverez dans beaucoup d’impasses si vous n’êtes là que pour la saleté. En plus, il y a toute cette histoire de confidentialité.

 

9. Devenir thérapeute par besoin de reconnaissance et de titres.

Voilà la pire des raisons. Le besoin de titre en thérapie complémentaire allié au besoin de reconnaissance ne profite qu’à votre ego et à vos peurs. C’est le bouillon de culture de toutes les dérives quelles qu’elles soient. Il est fréquent de constater que lorsqu’une personne évolue en prise de conscience (pour ne pas dire en spiritualité) et que dans le même temps elle commence un début de reconnexion avec son être profond, un de ses premiers besoins est de reproduire à l’extérieure l’union d’elle-même dont elle vient tout juste de faire l’expérience. Dit autrement la personne veut aider les autres, faire le « bien » ou plus encore aider les autres à « évoluer vers cette connexion dont elle vient de faire l’expérience ».

Dans la période actuelle mais depuis quelques années déjà, ce phénomène implique que la plupart des personnes qui évoluent vers une reconnexion à elles-mêmes veulent dans un premier temps devenir thérapeute, coach ou énergéticien. Selon moi ceci est un leurre, car nous avons besoin de gens éveillés dans tous les métiers! Savez vous par exemple qu’il y a plus d’ostéopathes dans certains coins de France que de vertèbres en lésions ?

 

 

Alors quelles sont les bonnes raisons pour devenir thérapeute et entreprendre sereinement une reconversion professionnelle ?

1-Être passionné par ce que vous faites et prendre du plaisir avant tout. Cela vaut pour tous les métiers.

2- Eviter de vous trouver dans une ou plusieurs des 9 mauvaises raisons qui sont citées ci-dessus.

3- Avoir une seconde activité qui vous plaise tout autant.

Cet article n’est que mon point de vue, je ne prétends pas qu’il s’agisse d’une vérité absolue. Il n’est que le fruit de mes observations et de mon expérience en tant que praticien en cabinet et formateur au sein de l’école Collectif Concept Formations.

Raphael Chappaz

Thérapie craniosacrale interview sur Gwennoline TV

Mon interview sur Gwennoline TV du 4 mai 2020

Thérapie craniosacrale, méthode douce aux résultats surprenant !

– Douceur confort et sécurité. Pas de manipulations avec des craquements sinistres. – Thérapie brève. Une à trois séances maximums pour toutes douleurs ostéopathiques. – Globalité. Le corps est travaillé dans sons ensemble jusqu’à la cause primaire. – Douleurs de dos et nuque, douleurs aux articulations, troubles viscéraux, migraines, acouphènes, symptômes liés au stress, anxiété ou chocs émotionnels. Pour ne citer que quelques exemples. Les origines de la thérapie craniosacrale . Le déroulement d’une séance. Comment se former? Une interview enrichissante pour moi. Je l’espère aussi pour vous. Pour plus d’informations veuillez cliquer sur ce lien: Formations thérapie craniosacrale. Encore merci à Gwennoline TV

Formation thérapie craniosacrale, cranio-sacrée en vidéo

Formation thérapie craniosacrale, cranio-sacrée? Une courte vidéo explicative.

 

 

La qualité et le sérieux de notre formation  » thérapie craniosacrale, cranio-sacrée » de 508 heures de cours théoriques et pratiques lui vaut un agrément ASCA. Nous étudierons les bases de la thérapie manuelle et craniosacrale. Les techniques d’harmonisations des restrictions de mobilité se font en utilisant le MRP (Mouvement Respiratoire Primaire) appelé aussi méthode fluidique et aussi avec des technique fonctionnelles, myotensives et viscérales. Il ne s’agit pas uniquement d’un travail crânien. Mais tout le corps est pris en compte de la cheville à la dernière cervicale sans oublié la partie viscérale.

La thérapie craniosacrale  est une thérapie manuelle douce. Fondé par W G Sutherland. Un journaliste devenu élève pendant 2 ans (1898 à 1900)d ‘Andrew T Still fondateur de l’ostéopathie

De ce fait il ne faut pas la confondre avec la thérapie craniosacrale dite biodynamique apparue bien des années plus tard et qui est une thérapie énergétique qui ne prends pas en compte la partie manuelle mécanique issue de l’ostéopathie. A mon avis cela est un tort car nous sommes constitués de plusieurs systèmes unifiés sans hiérarchie. Dans la thérapie craniosacrale le crânien va appuyer la thérapie manuelle appliquée sur le corps et non la remplacer. Cette précision est importante.

 

 

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Formation en thérapie

Formation en thérapie

 

 

La formation en thérapie peut se classifier en 4 grands chapitres

Formation en thérapie manuelle.

Cela comprend tout ce qui touche de près ou de loin à l’articulaire, la posture, les adaptations musculo-squelettiques. Dans cette catégorie nous avons par exemple l’ostéopathie, la kinésithérapie ou physiothérapie, les massages thérapeutiques, la réflexologie, la kinésiologie, l’orthopractie etc… Ceci n’est qu’un exemple pour la formation en thérapie manuelle.

 

Formation en thérapie fluidique

Cela comprend tout ce qui touche aux fluides. La thérapie craniosacrale, l’ostéopathie crânienne, la thérapie cranio-sacrée. Ces méthodes utilisent le mécanisme respiratoire primaire induit par la fluctuation du rythme du liquide céphalo- rachidiens.

Le drainage lymphatique pour faire circuler la lymphe, etc….

 

Formation en thérapie énergétique

Ce chapitre est un peu particulier car souvent mal comprit. Partant du principe que tout est énergie vibrant à des fréquences différentes nous avons souvent tendance à confondre l’information (qui est pure énergie) et la manifestation de cette information (qui peut être matériel ou plus subtile). L’énergie est quelque chose qu’on ne peut appréhender qu’à travers ses effets ou sa qualité. Et surtout pas du fait de sa subtilité ou matérialité.

Une thérapie énergétique comprend tout ce qui touche à l’information, c’est une thérapie informationnelle, comme par exemple l’ostéopathie énergétique Poyet, l’auriculothérapie, la sonothérapie,l’étiomedecine, la microkiné, et tant d’autres. Mais surtout leurs effets doivent être mesurables, stables et définitifs. Si l’information change, la forme change.

 

Formation en thérapie psycho-corporelle.

Cela comprend tout ce qui touche à la psychologie, à la personnalité en général. Par exemple, les psychothérapies, la sophrologie, etc…

Quoi qu’il en soit, quel que soit  la formation en thérapie qu’on déciderait d’entreprendre, il est très important de choisir une formation qui ne sépare pas les aspects cités plus haut et qui explique l’importance de travailler en réseau. Aucune thérapie quelle qu’elle soit ne peut prétendre tout régler à elle seule.

 

www.collectif-concept.com